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"Mission confiée par le Président Macron à Benjamin Stora sur la colonisation et la guerre d'Algérie"

30/8/2020

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LA COLONISATION ET LA GUERRE D'ALGÉRIE :
FAIRE VRAIMENT ŒUVRE DE VÉRITÉ !
A peine lancée, la mission confiée par le Président Macron à Benjamin Stora sur la colonisation et la guerre d'Algérie suscite déjà beaucoup de critiques et d'interrogations.
Le Chef de l'Etat souhaite une "reconnaissance entière, de part et d'autre, d'une histoire faite d'humiliations et de violences mais aussi de moments plus heureux".
Ces propos semblent confirmer la volonté affichée, avant son élection, de poursuivre le discours de vérité sur cette histoire commune partagée par des millions de français et d'algériens pendant plus d'un siècle.
Certaines voix se sont élevées pour fustiger Benjamin Stora en l'accusant d'avoir une vision partiale et partielle de la colonisation et de la guerre d'Algérie.
Au-delà de cette nomination, nous devons surtout nous interroger sur la capacité de cette mission à mener à bien ce travail de Vérité avec un délai de cinq mois qui lui est accordée.
Le Président Macron nous dit qu'il faut "avoir une relation décomplexée sur les questions mémorielles pour mieux se tourner vers l’avenir." 
Benjamin Stora affirme lui-même que le travail de l'historien se fonde sur des archives et des témoignages, sur le recoupement et la confrontation d'informations, surtout si l'on veut mieux comprendre tous les tenants et les aboutissants de cette histoire terrible que fut la colonisation et la guerre d'Algérie.


S'agissant du groupe mémoriel Harki, habitué depuis de nombreuses années, à une certaine amnésie voire d'un mépris certain de la part des autorités françaises et algériennes, les inquiétudes sont nombreuses.
Pouvons-nous être sûrs que les différents acteurs iront jusqu'au bout de cette "reconnaissance entière, de part et d'autre" sur l'histoire si particulière de ces "supplétifs" enrôlés à tour de bras au côté de l'armée française ?
L'Algérie est-elle prête à confirmer ce qu'ont été les méthodes du FLN et la guerre dans la guerre entre ce même FLN et le MNA qui a contribué grandement à l'enrôlement de ceux que l'on nommera communément "Harki", avec tout ce que cela comporte d'insultant, aujourd'hui encore,  dans la bouche de beaucoup d'Algériens voire ici, en France ?
Nous noterons avec un certain amusement que le terme "Hirak" est utilisé par des millions d'Algériens et repris par les médias occidentaux pour désigner le mouvement de contestation populaire en Algérie.
"Hirak", "Harki" deux mots qui ont la même signification et qui désignent une même volonté de s'opposer à un régime totalitaire !


La France, quant à elle, saura-t-elle imposer la question si dérangeante des Harkis qui bat en brèche l'histoire officielle de la "révolution algérienne" et de ses mythes fondateurs que le pouvoir algérien n'a cessé d'utiliser pour justifier sa légitimité ?
Le Président Macron a parlé de "crimes contre l'Humanité" en référence à certains épisodes de la colonisation.
La conquête militaire menée au début de l'invasion du territoire occupé par les Ottomans fut une suite de tueries de masse et de dépossession foncière qui frappa de plein fouet la population civile avec près d'un million de personnes qui en décéderont.


Les terribles massacres de Sétif, Guelma et Kherrata ont été aussi des faits d'une extrême gravité qui peuvent être considérés, eux-aussi, comme des "crimes contre l'Humanité".
Le système colonial, son Code de l'indigénat, le véritable apartheid qui avait été instauré par la République Impériale font aussi partie de ces violences et humiliations dénoncées par le Président Macron.


Pour autant, l'Algérie est-elle prête à reconnaître tous ses torts ?


Est-elle en capacité d'admettre l'arbitraire du FLN, la terreur que ce parti imposa à tout un peuple et principalement la paysannerie algérienne qui représentait 80 % de la population totale qu'il fallait avoir avec soi ?
Les enlèvements, les tueries et autres actes de barbarie dont furent victimes les Européens d'Algérie au moment de la guerre d'indépendance et après seront-ils évoqués sans difficulté ?


Et surtout Benjamin Stora abordera-t-il l'abandon par la France (télégramme du 12 Mai 1962) et le génocide des Harkis et de leurs familles qui a vu des milliers de personnes tuées dans des conditions d'horreur indescriptible ?


Vouloir restituer le passé dans toute sa Vérité suppose un travail historique d'une grande rigueur et une totale objectivité.
Mais ce travail de Vérité est d'abord conditionné à un véritable courage politique, sans arrière pensée et dans le respect des groupes mémoriels concernés.
 
Les Harkis et leurs descendants réitèrent leur demande auprès du Chef de l’Etat et de M. Stora  pour que cette mission sur la colonisation et la guerre d'Algérie n'élude aucun pan de cette histoire douloureuse.
Ils exigent le respect de la Mémoire collective Harki fondée sur les événements qui se sont déroulés en Algérie puis sur le territoire Français où leur accueil mérite aussi d’être relaté sans tabou.


Collectif National Justice pour les Harkis et leurs Familles
Rassemblement Harki
Comité du 12 mai


Un courrier à l’attention du Président de la République va être rédigé prochainement pour lui faire part de nos préoccupations sur cette question mémorielle.
Nous invitons tou(te)s les représentant(e)s d'associations et simples militant(e)s à signer cet appel.


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COMPTE-RENDU DE LA RENCONTRE DU SAMEDI 15 AOÛT 2020 A PERTUIS (84)

22/8/2020

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RASSEMBLEMENT HARKI
COMPTE-RENDU DE LA RENCONTRE DU SAMEDI 15 AOÛT 2020 A PERTUIS (84)

Dans la continuité de la dernière réunion qui s'est tenue à Rivesaltes le 4 juillet dernier, nos amis de la région de Pertuis ont souhaité organiser une rencontre entre les militant(e)s de la cause Harki sur les deux thèmes qui nous sont chers, la Mémoire et la Réparation.

Différents départements étaient représentés, principalement de la Région PACA avec également deux membres du Collectif Justice pour les Harkis qui ont fait le déplacement de la Drôme et de l'Isère.
​
Après un premier tour de table qui a permis à chaque participant(e) de se présenter, les discussions ont démarré sur les moyens les plus efficaces dont nous disposons pour nous faire vraiment entendre des pouvoirs publics sur les revendications légitimes que nous portons depuis tant d'années.
Les participants se sont tous accordés à dire que les représentants de l'Etat continuent de miser sur la division du mouvement associatif Harki et notre incapacité à peser véritablement sur les décisions politiques à prendre pour reconnaître officiellement toutes les fautes lourdes commises
et, in fine, réparer, à sa juste valeur, tous les préjudices subis.

Le constat a aussi été fait sur le caractère borné de certaines personnes qui s'autoproclament porte-parole de notre communauté de destin et leur attitude anti-démocratique ; nous avons pu le vérifier, une fois de plus, à l’occasion d’une réunion avec une faible assistance organisée dernièrement à La Grande Motte où un porte-parole national a été désigné dans des conditions rocambolesques.

Nous avons eu droit, par la suite, à une rencontre avec les mêmes « représentants » et le ministre de l’Intérieur (qui n’a aucune prérogative sur le dossier Harki) où nous avons appris qu’un « rapport corrigé sur les doléances harkies » lui avait été remis.
Tout cela sans aucune concertation avec les militants engagés, eux-aussi, dans le combat pour la Vérité et la Justice et sans informer qui que ce soit du contenu de ce « rapport ».
Ces méthodes qui perdurent, malheureusement, depuis de nombreuses années, n'ont jamais fonctionné, tout simplement parce que les pouvoirs publics connaissent parfaitement tous ces dysfonctionnements et notre représentativité toute relative.

Il convient donc de réfléchir aux autres moyens dont nous disposons pour obliger les représentants de l'Etat à engager une véritable négociation sur la Reconnaissance des fautes commises et la Réparation intégrale de tous les préjudices subis.
Comment parvenir à fédérer toutes les énergies qui se manifestent ici et là, en évitant tous les travers que nous connaissons encore avec le mouvement associatif Harki ?
Nous rassembler et agir collectivement, non pas sous la houlette d'un grand chef qui représenterait une très hypothétique fédération d'associations fantômes, mais plutôt autour de projets d’actions communes, avec des décisions prises collégialement, nous semble la solution la
plus à même de créer ce rapport de forces qui nous fait tant défaut, à l'heure actuelle.

Les actions juridiques menées sur plusieurs fronts (Tribunal administratif, Pénal, Juridictions internationales ou ayant compétence universelle) ont été présentées lors de cette rencontre à Pertuis et l'ensemble des participants qui se sont exprimés à tour de rôle a opté pour ce type d'actions plus fédératrices et sûrement plus efficaces.
Nous rappelons que l'objectif premier est d'obliger les représentants de l'Etat à ouvrir de vraies négociations sur les sujets qui nous intéressent.
Si ces derniers ne souhaitent toujours pas écouter nos demandes d’indemnisation qui sont incontestables, alors, nous utiliserons l'arme juridique.

Nous avons indiqué lors de cette rencontre en quoi consistent ces actions juridiques :
- Réparation des préjudices subis (préjudice moral, souffrances psychiques, discriminations et atteintes au principe d'égalité, perte du patrimoine immobilier, perte de chance du fait du refus de l'Etat de faire bénéficier à nos parents des dispositifs de réinstallation prévus par la loi du 26
décembre 1961, difficultés d'insertion professionnelle des enfants dues aux conditions d'accueil, etc...).
Ces demandes de réparation se font devant les Tribunaux Administratifs après l'envoi au ministre compétent d'une requête préalable en indemnisation.
L'administration a deux mois pour répondre.
En cas de réponse négative ou de non réponse, nous disposons d'un nouveau délai de deux mois pour saisir le T.A. dont nous dépendons.
Les recours devant ces T.A. sont des requêtes individuelles (chaque Harki, conjoint ou ex-conjoint, veuve ou enfant de Harki déposera un dossier à son nom. A noter qu'un enfant de Harki peut agir en qualité d'ayant cause pour un ou ses parents décédés) mais elles seront gérées collectivement
par notre groupe de manière à être plus efficaces.


Important :
les recours devant les juridictions administratives sont des procédures écrites.


L'avocat ne plaide pas comme devant une autre juridiction.
La particularité de cette procédure et le nombre de requérants que nous serons capables de convaincre diminueront considérablement les frais de justice.
- Demande de pension d’invalidité pour les personnes civiles ou militaire au titre des souffrances psychiques ou des violences de guerre endurées.
- Plainte contre la France pour crimes ou complicité de crimes contre l’Humanité.
La saisine de juridictions internationales ou de tribunaux ayant une compétence universelle est à l’étude.

Certains participant(e)s ont fait d'autres propositions d'actions qui peuvent compléter celles que nous envisageons au plan juridique :
- boycotter la cérémonie officielle du 25 septembre en se rendant dans les cimetières où sont enterrés les Harkis pour leur rendre un hommage plus sincère.
L'inconvénient souligné par un des participants réside dans le risque de nous couper des représentants de l'Etat qui pourraient considérer que tout dialogue est impossible avec les militants de la cause Harki.

- préparer des actions "spectaculaires" pouvant être médiatisées (blocage de voies ferrées, de péages d'autoroutes...).
Quel impact ? Le relais des médias n'est pas assuré, nous le voyons aujourd'hui avec des actions qui sont menées sur des péages autoroutiers à Manosque ou à Maubeuge...
Ces actions sporadiques ne suffiront pas à obliger le gouvernement à négocier.
- chercher des soutiens extérieurs à notre groupe social :
​associations d'anciens combattants qui pourraient surtout nous aider dans le cadre de nos actions portant sur la Mémoire.

Débats plutôt vifs sur le soutien des associations de Pieds-Noirs :
la majorité des participants n'est pas vraiment convaincue, à plus forte raison, que nous savons tous qu'ils n'ont jamais véritablement aidé nos parents pour qu'ils puissent bénéficier, eux-aussi, des lois de réinstallation et d'indemnisation, en leur qualité juridique de Rapatrié...
- réfléchir aux moyens à mettre en œuvre pour le financement des actions au pénal pour la complicité de crimes contre l'Humanité et devant des juridictions extraterritoriales mais aussi aux frais en lien avec l'organisation des différentes réunions que nous organiserons.

Nous avons également évoqué la Mémoire collective Harki et les projets en cours ou à venir.
Là aussi, nous devrons agir ensemble pour permettre à ces initiatives d'aboutir, qu'il s'agisse d'actions locales (projet de conservatoire national de la Mémoire Harki initié par l’association « Mémoire du camp du Logis d’Anne ») dont l'objectif est de préserver les lieux de mémoire ou de
projets de portée nationale (création d'une fondation Harki, Monument national...).

Une réflexion commune devra également être menée sur la convergence et la réconciliation des mémoires avec tous les autres groupes porteurs de mémoire concernés.
Nous tenons à souligner la participation d'une personne, extérieure à notre communauté, à cette rencontre de Pertuis, qui soutient notre cause et qui démontre ainsi cette nécessité de travailler à ce rapprochement des mémoires.

Nous la remercions vivement pour son apport aux discussions que nous menons.

Un dernier tour de table a été proposé où chaque participant(e) a exprimé son soutien au projet de rassemblement basé sur ces actions juridiques tel qu’il a été présenté.

La proposition faite par une participante de rédiger une charte à faire signer par toutes les personnes qui veulent s'engager dans ce projet a été actée.
Cela permettra d'entériner l'adhésion de chacun(e) d'entre nous à ce projet qui a pour ambition de nous rassembler et d'agir collectivement.

FIN DE RÉUNION A 19 H

Nous tenons à redire que les militants engagés dans cette démarche sont prêts à participer et animer des réunions dans toutes les régions où se trouvent des personnes intéressées par ce projet fédérateur.

CONTACTS :
- Abd El Kader MOKHTARI Tél. 06 24 42 53 83
- Ahmed OURAMDANE Tél. 06 77 96 78 54
- Zohra ARIDJ E-mail : zohra.aridj@outlook.fr
- Fatima MELLOULI E-mail : relizeane@gmail.com


Un grand merci à Marco, Rezig, Mohamed,H’mida, Miloud, Fathia et celles et ceux qui ont contribué à la réussite de cette journée d’information et d’échanges qui fut aussi un grand moment convivial et fraternel.
​Télécharger au format P.d.f :
compte rendu Pertuis 15 août 2020
File Size: 96 kb
File Type: pdf
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SE FAIRE VRAIMENT ENTENDRE !

5/8/2020

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SE FAIRE VRAIMENT ENTENDRE !

​Le Président Macron qui prétendait incarner le nouveau monde et faire de la politique autrement, est, en réalité, comparable sur de nombreux points à tous ces prédécesseurs.

C'est le changement dans la continuité ! La question Harki qui n'est toujours pas résolue, près de soixante après la fin de la guerre d'Algérie, n'échappe pas à la règle.

LE DÉNI ET LES MENSONGES CONTINUENT ! Alors que les responsabilités des gouvernements successifs ont été admises par l'ancien Président de la République François Hollande et surtout par le Conseil d'Etat (c'est la seule chose vraiment positive que nous retiendrons dans cet arrêt), l'actuel Chef de l'Etat renie les engagements pris pour les Harkis et leurs familles, pourtant citoyens français à part entière mais toujours au ban de la Nation. Nos gouvernants espèrent-ils enterrer définitivement le problème avec la mort du dernier Harki ?

LE CYNISME ET LE MÉPRIS CONTINUENT ! LA Réparation de tous les préjudices subis est une créance que nous avons sur l'Etat qui refuse encore d'honorer sa dette. Il n'y a pas de milliards pour les Harkis, nous disait le Préfet Ceaux !

L'Etat et ses représentants sont-ils au-dessus des lois ?

Le citoyen lambda qui commet un dommage doit réparer. Il ne pourra invoquer sa situation financière pour se dispenser d'indemniser sa victime.

LA LOI DOIT S'APPLIQUER DE LA MÊME MANIÈRE A TOUS, QUEL QUE SOIT SON STATUT SOCIAL.

Les moyens de faire entendre nos revendications légitimes ne sont pas nombreux : soit, nous sommes en capacité de peser sur les choix politiques en fédérant la multitude d'associations et d'individus dans une grande structure nationale, soit nous unissons nos efforts dans des projets concrets et sûrement plus efficaces.

La première solution relève de l'utopie tant les querelles sont grandes au sujet de la représentativité voire de la vision de l'histoire de la colonisation et de la guerre d'Algérie. La seule alternative est la Justice, ici, en France mais aussi au niveau international.

Le Collectif Justice pour les Harkis et leurs familles ainsi que le Rassemblement Harki qui regroupe des associations et des militants indépendants ont bien compris qu'on ne pouvait attendre indéfiniment la création très hypothétique d'une organisation nationale vraiment représentative du groupe social Harki.

C'est dans ce sens que nous menons depuis plusieurs mois une réflexion sur des procédures juridiques pour obtenir la Reconnaissance de tous les torts causés par l'Etat et la Réparation des préjudices subis.

NOUS VOUS INVITONS A NOUS REJOINDRE DANS CES ACTIONS COLLECTIVES POUR RAPPELER AUX POUVOIRS PUBLICS LA DETTE D'HONNEUR QU'ILS ONT ENVERS NOS PARENTS. UN MÉMO "ACTIONS JURIDIQUES" DÉTAILLANT LES PROCÉDURES ENVISAGÉES A ÉTÉ ÉLABORÉ PLUS D'INFOS SUR :
actionsjuridiques.ha­
rkis@gmail.com
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Pour tout renseignement sur les différentes actions juridiques * qui ont été élaborées par nos militants et des avocats, contactez nous :
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